**Faites défiler vers le bas pour le communiqué en français.**
The Secretary-General of the International Seabed Authority (ISA), H.E. Mr. Michael Lodge, reported on progress made by the organization since 2020 at the 48th plenary meeting of the 76th session of the United Nations General Assembly taking place in New York this week. The Secretary-General welcomed the support of the United Nations General Assembly to work undertaken by ISA, especially the resumption of in-person meetings under the 26th session of the ISA Council and the Assembly.
“I wish to thank the United Nations General Assembly for the many positive references on the work of ISA in the draft resolution before the Assembly. In these difficult times, the ongoing support of member States for the work of ISA is very much appreciated,” said Mr. Lodge in his annual statement on the Oceans and Law of the Sea resolution.
Mr. Lodge noted that, despite the constraints imposed by the pandemic of COVID-19, all the organs of ISA worked creatively and relentlessly. The resumption of in-person meetings will allow concluding the business of the twenty-sixth session, which began in 2020, and lay the groundwork for the twenty-seventh session of the ISA Council and the Assembly.
Furthermore, Mr. Lodge highlighted the three main avenues where ISA fulfilled its mandate under the United Nations Convention on the Law of the Sea (UNCLOS) to ensure that the interests and needs of developing States are fully integrated into the regime of the international seabed area during the past year. These include the production of three publications on the relevance of UNCLOS for the least developed countries, landlocked developing countries and small island developing States, the revitalization of capacity development programmes and initiatives to address the needs identified by developing States in 2020 and the launch of the “Women in Deep-Sea Research” project.
Moreover, Mr. Lodge highlighted the significant progress made in implementing the ISA Action Plan in support of the UN Decade of Ocean Science for Sustainable Development that the ISA Assembly unanimously adopted in December 2020. “The full implementation of the Action Plan is essential to the effective application of the precautionary approach which already governs all aspects of the work of ISA, as it serves to advance the scientific basis for continuously improved assessment of the impacts and risks related to deep-seabed exploration and future exploitation activities,” he said.
Looking ahead, Mr. Lodge announced the first-ever Women in the Law of the Sea Conference to be convened by the ISA Secretariat as part of global celebrations of the fortieth anniversary of the adoption of UNCLOS in 2022. “This conference intends to celebrate the contribution of women to the development of the law of the sea, their participation in the institutions created by UNCLOS and related regional and sub-regional organizations, and the pathways to enhancing the potential for women to contribute to the law of the sea in the future,” Mr. Lodge said.
Mr. Lodge recalled that the legal regime for the Area was the reflection of a vision of a more fair and equal society. “The unique mandate assigned to ISA is to give life to this ideal of equity and economic and social solidarity in access to and sustainable management of the mineral wealth of the deep seabed for the benefit of all humanity. ISA assures access to these resources to developed and developing States, rich and poor, large and small. At the same time, strict regulations ensure that we use these resources sustainably and in a way that provides long-term benefits for all,” he said. “Achieving this vision requires international cooperation and the commitment of all States,” he added. “The urgent need for this level of cooperation and commitment has recently been highlighted by the Secretary-General of the United Nations in his report ‘Our Common Agenda,’” Mr. Lodge said. “That is why it is encouraging that an independent report on the contribution of ISA to the 2030 Agenda, commissioned by the ISA Secretariat and released last week, concluded that the work of ISA already contributes to 12 of the 17 Sustainable Development Goals.”
“I wish to take this opportunity to commend the recommendations of the report to the United Nations General Assembly and encourage all member States, within the framework of UNCLOS, to continue to work collaboratively to achieve our common objective to strengthen global governance for the sake of present and future generations,” Mr. Lodge concluded.
Full statement by the Secretary-General is available here.
For media enquiries, please contact:
Ms. Stefanie Neno, Communications Specialist, ISA, sneno@isa.org.jm
******
Le Secrétaire général de l’Autorité internationale des fonds marins (AIFM), SEM Michael Lodge, a rendu compte des progrès réalisés par l’organisation depuis 2020 lors de la 48e séance plénière de la 76e session de l’Assemblée générale des Nations Unies qui se tient à New York cette semaine. Le Secrétaire général s’est félicité du soutien de l’Assemblée générale des Nations Unies aux travaux entrepris par l’AIFM, particulièrement la reprise des réunions en personne de la 26e session du Conseil et de l’Assemblée de l’AIFM.
« Je souhaite remercier l’Assemblée générale des Nations Unies pour les nombreuses références positives au travail de l’AIFM dans le projet de résolution dont l’Assemblée est saisie. En ces temps difficiles, le soutien continu des États membres au travail de l’AIFM est très apprécié », a déclaré M. Lodge dans sa déclaration annuelle sur la résolution sur les océans et le droit de la mer.
M. Lodge a noté que, malgré les contraintes imposées par la pandémie de COVID-19, tous les organes de l’AIFM ont travaillé de manière créative et sans relâche. La reprise des réunions physiques permettra de clore les travaux de la vingt-sixième session, qui a débuté en 2020, et de jeter les bases de la vingt-septième session du Conseil et de l’Assemblée de l’AIFM.
En outre, M. Lodge a souligné les trois principaux moyens par lesquels l’AIFM a rempli son mandat en vertu de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (CNUDM) au cours de l’année écoulée afin de garantir que les intérêts et les besoins des États en développement sont pleinement intégrés dans le régime de la zone internationale des fonds marins. Il s’agit notamment de la production de trois publications sur la pertinence de la CNUDM pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement, la revitalisation des programmes et initiatives de renforcement des capacités pour répondre aux besoins identifiés par les États en développement en 2020 et le lancement du projet « Les femmes dans la recherche en haute mer ».
En outre, M. Lodge a souligné les progrès significatifs réalisés dans la mise en œuvre du plan d’action de l’AIFM en appui à la Décennie des Nations Unies pour les sciences océaniques au service du développement durable que l’Assemblée de l’AIFM a adoptée à l’unanimité en décembre 2020. « La pleine mise en œuvre du plan d’action est essentielle pour l’application efficace de l’approche de précaution qui régit déjà tous les aspects du travail de l’AIFM, car elle sert à faire avancer la base scientifique pour une évaluation continuellement améliorée des impacts et des risques liés à l’exploration des fonds marins et aux futures activités d’exploitation », a-t-il déclaré.
Considérant l’avenir, M. Lodge a annoncé la toute première conférence sur les femmes dans le droit de la mer qui sera organisée par le Secrétariat de l’AIFM à l’occasion des célébrations mondiales du quarantième anniversaire de l’adoption de la CNUDM en 2022. « Cette conférence souhaite célébrer la contribution des femmes au développement du droit de la mer, leur participation aux institutions créées par la CNUDM et les organisations régionales et sous-régionales connexes, et les voies permettant d’améliorer le potentiel des femmes à contribuer au droit de la mer», a déclaré M. Lodge.
M. Lodge a rappelé que le régime juridique de la Zone était le reflet d’une vision d’une société plus juste et égalitaire. « Le mandat unique confié à l’AIFM est de donner vie à cet idéal d’équité et de solidarité économique et sociale dans l’accès et la gestion durable des richesses minérales des grands fonds au profit de toute l’humanité. L’AIFM garantit l’accès à ces ressources aux États développés et en développement, riches et pauvres, grands et petits. Dans le même temps, des réglementations strictes garantissent que nous utilisons ces ressources de manière durable et d’une manière qui offre des avantages à long terme pour tous », a-t-il déclaré. « La réalisation de cette vision nécessite une coopération internationale et l’engagement de tous les États », a-t-il ajouté. « Le besoin urgent d’un tel niveau de coopération et d’engagement a récemment été souligné par le Secrétaire général des Nations Unies dans son rapport « Notre programme commun », a déclaré M. Lodge. « Il est encourageant qu’un rapport indépendant sur la contribution de l’AIFM au Programme 2030, commandé par le Secrétariat de l’AIFM et publié la semaine dernière, ait conclu que le travail de l’AIFM contribue déjà à 12 des 17 objectifs de développement durable. »
« Je souhaite saisir cette occasion pour saluer les recommandations du rapport à l’Assemblée générale des Nations Unies et encourager tous les États membres de la CNUDM, à continuer de travailler en collaboration pour atteindre notre objectif commun de renforcer la gouvernance mondiale pour le bien de générations présentes et futures », a conclu M. Lodge.
La déclaration complète du Secrétaire général est disponible ici (en anglais uniquement).
Informations aux médias :
Mme Stefanie Neno, Spécialiste des communications, AIFM, sneno@isa.org.jm